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Pourquoi utiliser les Street Interviews comme nouveau format publicitaire ?
Le contenu généré par les utilisateurs (UGC), notamment face caméra, et les influenceurs positionnés pour promouvoir des produits.
Le problème ? Ces formats ont perdu de leur efficacité. Le constat est simple : « Vos publicités ne peuvent plus ressembler à des publicités... les gens font confiance aux opinions et aux émotions authentiques. »
Quand tout le monde fait “le même plan UGC”, la différence s’efface.
Les publicités “scriptées, inauthentiques” ne convainquent plus, alors que l’IA pousse des contenus propres, mais impersonnels.
Dans ce flux de contenus “parfaits mais froids”, l’authenticité, les visages, les réactions spontanées, le bruit de la rue deviennent une rareté. Et comme toujours, dans un marché saturé, ce qui devient rare devient précieux.
C’est précisément là que les street interviews prennent tout leur sens.
En effet, l'attention est le nouveau pétrole. Le format street interviews permet d’obtenir « live reactions » et « feedback direct à propos de votre marque. »
Autrement dit : face à des spectateurs blasés, les micro-interactions de rue sont un choc de fraîcheur. Elles répondent à deux impératifs : capturer l’attention, et déclencher une émotion crédible.
Un autre atout : ce format fonctionne aussi bien dans un flux organique que comme publicité payante.
Pour les marques, c’est un double avantage : de la visibilité, mais aussi des résultats mesurables, pour TikTok, Meta ou YouTube.
Le cœur du format : du réel, non pas simulé. Notre équipe arpente les villes, pour interroger des passants en temps réel, un travail de “fourmi” qui est gage d’authenticité et de crédibilité.
Pour une marque naissante ou ambitieuse, c’est une promesse : votre produit testé en live, entendu, montré, senti.
Parce qu'il y a de plus en plus de bruit publicitaire, et seuls les formats habiles à se démarquer resteront efficaces.
Parce que les consommateurs rejettent la perfection.
Parce qu’avec la multiplication des canaux, c’est l’attention réelle qui devient rare, non pas la portée.
Parce que les formats “non-scriptés” génèrent confiance, et la confiance, c’est la CONVERSION.
